L'Aéronef | Billetterie officielle
Billetterie en ligne Réservation Accueil billetterie Site officiel
Recherche Par événement, festival...
Ok
ETAPE 1
Choix des places
ETAPE 2
Vos coordonnées
ETAPE 3
Paiement sécurisé
ETAPE 4
Téléchargement des places
Votre demande
Concert L.A. SALAMI + PALATINE à LILLE @ L'AERONEF - Billets & Places

L.A. SALAMI + PALATINE

Concert

Pop Rock

L'AERONEF168, centre commercial Euralille, Avenue Willy Brandt 59000 LILLE Ventes terminéesVous êtes abonné.e ? Présentez-vous le soir même pour retirer votre invitation, pas besoin de réserver. Et si vous arrivez entre 19 et 19h30 on vous offre un verre et une visite de la salle et ses backstage! Pas encore abonné.e à l'Aéro ? Vous pouvez vous abonner sur place pour profiter de tout ça !
 
L.A .SALAMI
Folk . Rock
L.A. Salami a écouté beaucoup de folk. Du Folk avec un F majuscule. Le classique. Sûrement beaucoup de Neil Young, et du Bob Dylan, bien entendu (I Can't Slow Her Down, No Hallelujahs Now). Ajoutons à cette solide base, des sonorités hip-hop et blues indiscutables (The City Nowadays, Going Mad As The Street Bins), pour celui qui dit aimer tout particulièrement la musique des années 1960 et 1970. On n'en doute pas une seconde, en penchant l'oreille sur sa technique de guitare, ses quelques traits d'harmonica, ses accords plaqués au synthé rétro etc.
Confié à une famille d'accueil à 2 mois, c'est à 21 ans qu'on offre à L.A. Salami sa première guitare. Quelques années plus tard, deux EP voient le jour, puis quelques mois plus tard, c'est son premier album de 15 chansons qui sort. Une semaine de studio seulement lui a été nécessaire pour enregistrer cet album live. Car L.A. Salami n'est pas intéressé par les réenregistrements studio. Et si tu veux tout savoir, il qualifie sa musique de blues post-moderne.
Influencé par ses icônes folk et blues, il s'est constitué une identité musicale forte et s'inscrit dans cette nouvelle génération de folkleux singuliers, qui savent manier la langue et les notes avec autant d'aisance qu'un Usain Bolt sur 100m.
Nouvel album : The City of Bootmakers (sortie le 13 avril)
Dans la même veine : Adam Green - Francobollo - Ryley Walker
 
 

PALATINE
Folk . Rock
« Comme Ce Rouge Me Plait ». C'est le titre sibyllin qui ouvre le premier album de Palatine. Morceau sexy, paresseux, lettré. Chanson de boudoir. Pleine de double-sens, de mots tiroirs. Chant lascif. Orchestration tout en dentelles.
Et dès ce premier morceau on a l'intuition que les quatre hommes de Palatine ne nous lâcheront plus. Ou pire, que
nous ne voudrons plus les quitter. Ce qui est peut-être encore plus pervers. Les choses sont pourtant claires : la
relation sera compliquée, passionnelle, parfois violente (« Là où mes mains se posent poussent des ecchymoses… »), mais toujours entière, vivante. Pas la routine du quotidien, donc, mais plutôt les sommets et les abysses de l'âme humaine. « Ecchymose », « Stockholm » et « Grand Paon De Nuit » auraient même pu être des inédits de la période « Fantaisie Militaire / L'Imprudence » d'Alain Bashung. Elles dégagent la même poésie noire, le même désespoir lumineux, grâce à une écriture au cordeau et à des arrangements crépusculaires.
Palatine raconte donc ces entrelacs de destins qui nous emmènent ici ou ailleurs, avec untel ou tel autre, à nous
aimer, à nous haïr. A oublier, à se souvenir. « Golden Trinckets », « Marions-Nous » et « City Of Light » sont comme
des marches forcées dans le désert du Nevada -ou bien sur le périph' moribond d'une ville la nuit- sur fond de
bande-son de western post-rock, comme une rencontre inopinée entre Mark Lanegan et Christophe. Autant dire à
fleur de peau.
Même lorsqu'il faut danser, comme sur « Faux Brouillards » ou sur l'entêtant premier single « Paris - L'ombre », on
le fait en connaissance de cause. Sans se mentir. Sans tricher. Les yeux dans les yeux.
« C'était Un Loup ». C'est le titre sibyllin qui clôture le premier album de Palatine. Morceau aux chœurs aériens,
langoureux, orchestré. On pense au Nino Ferrer de « Nino & Radiah ». Et on se dit qu'il faut parfois regarder le mal
en face pour enfin voir le bien.